- SORTEZ ! svp ...
On a tous nos zones, nos espaces, nos ... nos trucs.
Sur cette photo au dessus, la zone de la plage réservée aux mouettes.
Ensuite on trouve la zone des moules, puis celle des seins nus.
Les homos (mâles), gays et folles, ont aussi leurs aires que je visitai par mégarde.
J’eusse été violé, si je n’arrivai à m’enfuir de ce lieu d’enculage,
misérable touriste innocent que j’ai tu ou tais.
Trois bâtiments immenses, 10000m² au moins, avec d’un côté la mer,
et entre les murs des pédales (les pédalos restant sur la plage).
Le bâtiment central est marqué d’un « BOLOGNAISE » géant,
c’est un ancien hôtel.
Je vous invite à sortir,
cet article est un article-photos,
particulièrement médiocre et malsain.
L’endroit est squatté par des sans-papiers.
Squat de rêve pour peu,
boite à PD pour quelques homophobes incultes,
le lieu est hyper-photogénique mais pas hygiénique :
j’ai failli attrapé le palu,
un gros moustique voulait me piquer le cul.
La qualité de l’appareil photographique de Aude est très bonne.
Je ne connais pas la science de l’art de l’image figée,
malgré cela j’ai pu jouir du plaisir du déclic.
Un film arrêté, une course suspendue, pendant que les saillis virils s’enchainent dans les couloirs du complexe hôtelier perdu, perclus de cris masculins tels que : « Ti amo, Ti amo, belo culo ! ».
J’aurais aimé (ce que me criait certainement en italien un homochtone [déf.] me voyant m’enfuir de ce bouge en ruine).
J’aurais aimé donc, ... mince, je sais plus... ha oui !
J’aurais aimé parler de fenêtres, portes, dans cet article, mais il y aurait eu encore plus de monde sur mon blog, car des mots comme :
- Fenêtre
- Porte
- Brique
- Plâtre et ciment
- voire clou !
.. auraient attiré tous les maçons du net à cause du système de référencement des moteurs de recherches.
Google m’aurait envoyé tout ces ouvriers du bâtiment, tout ces Marios, ces Luigis et autres Pédros (encore des italiens d’ailleurs, à se demander si les italiens sont pas des « gna-gna » de la jaquette).
Ces gentils travailleurs m’auraient sans doute fait un procès de parler de la sorte d’eux... de les traiter... d’italiens... !
Je ne vais pas m’avancer à discuter de tout ça, c’est bien trop épineux comme sujet. C’est un tunnel sans fond (pour relier avec cette photo).
Et puis à quoi bon en parler, puisqu’il n’y a personne sur mon blog, tout le monde sort, personne ne doit rester, les gens doivent le fuir, fermer leur navigateur, ne plus jamais se connecter.
La plage libre, sans parasol payant, Sunbed à 15 €uros : un petit carré de plage en état de liberté gratuite.
La salle des geeks qui aiment les garçons.
Encore une belle photo, bien gaie à la « Texas Chainsaw Massacre ».
Sortez, mais sortez svp !
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